l'IFFCAM est référencé sur le DATA Dock, site accessible à tous les organismes de financement de formation.
A la mémoire des 12 victimes mortes pour Elles…
Le premier film animalier tourné la nuit sans aucun éclairage artificiel, à la seule lueur des étoiles et de la lune.
Le film sera diffusé mardi 23 décembre sur France 2 à 20h45.
http://www.france2.fr/emissions/la-nuit-des-elephants
LA NUIT DES ELEPHANTS, un film réalisé par Thierry Machado et écrit par Stéphane Durand & Thierry Machado, produit par Barthélémy Fougea (Winds Films) & Jacques Perrin (Galatée Films).
Je m’appelle IDIR Hanifi, j’ai 28 ans
Je suis originaire d’Alger donc un enfant des villes , un petit citadin.
Je suis ingénieur Agronome spécialisé en protection des végétaux, option entomologie agricole à ENSAGRO Alger.
J’ai fais de la médiation après l’obtention du diplôme, on faisait de la vulgarisation des sciences auprès du grand public, l’expérience m’a plu et je suis venue en France pour faire un stage de médiation au palais de le découverte, souhaitant pousser l’expérience plus loin je me suis rendu compte que le support audiovisuel pouvait être un vecteur efficace de médiation scientifique.
Oui , j’étais étonné qu’une telle formation existe j’ai envoyé mon dossier et je suis là…
Je viens d’un milieu ou je ne connaissais pas les caméras, j’ai appris plein de choses et au delà de ça c’est l’expérience humaine, une nouvelle façon de penser que l’IFFCAM m’a amené ; ce brassage culturel cette rencontre avec des personnes d’horizons, voire de différent pays qui partagent tous le même passion pour la nature, la protection de l’environnement…
Je suis en pleine réflexion sur mon film de deuxième année qui porte sur les enfants et l’éducation à l’environnement, la nécessité de sensibiliser les plus jeunes aux enjeux environnementaux et à plus forte raison chez moi en Algérie
L’Algérie est un milieu vierge au niveau du documentaire animalier, je vais essayer de ramener ma petite graine pour sensibiliser la société algérienne au milieu dans lequel ils vivent pour les pousser un peu à le protéger. Commencer par des petits projets faute de moyens en espérant grandir et développer des collaborations avec mes collègues Iffcamiens
Merci Idir
Hugo et Kévin, deux anciens étudiants de la neuvième promotion, nous reviennent tout juste d'Alaska, où ils sont allés filmer les rencontres sauvages de deux jeunes photographes apnéistes.
Après deux mois de formation, les masters 1 ont mis la théorie en pratique lors d'un premier stage de cadre d'une semaine en Brenne.
Chaleureusement logés chez le photographe Nicolas Van Ingen au coeur du pays brennou, ils ont pu découvrir au gré d'une météo douce et bienveillante ce pays d'étangs, de bois et de prairie. Quatre groupes d'étudiants armés chacun de deux caméras, et de matériel de prise de son se sont ainsi initiés au rythme du métier de documentariste animaliers. Affûts dès l'aube et au crépuscule, dérushage le midi et le soir près de la cheminée, au rythme des critiques de Patrick Luneau et de Thierry Thomas, gestion du matériel, repas conviviaux, et travail en équipe.
Les étudiants avaient préparé des sujets de films d'environ quatre minutes sur la Brenne avant leur départ, proposant chacun un regard et une approche particulière de la région, allant de la vie de l'étang et sa pêche traditionnelle aux légendes locales, en passant par la richesse méprisée du sol brennou. Malgré un exercice nécessaire de réécriture des sujets, la chance leur a souri, puisque les animaux étaient au rendez-vous. Un joyeux festival de biches et mulots nautiques, un cache cache avec des chevreuils, un instant de vie d'une famille de sangliers curieux, de longues envolées avec les grues cendrées, des mirages de hérons et de grandes aigrettes sur l'eau, et la rencontre du butor étoilé ont égaillé ce séjour et permis aux étudiants de s'exercer à garder leur sang froid.
Le retour est difficile, avec la nécessité de trier, de jeter des plans qui sont hors sujet, de prendre conscience qu'on n'a pas réussi à filmer au mieux ce qu'on a vu ou qu'il manque des plans. Mais, le défi du montage et le partage du travail de chaque groupe permettent l'élaboration des premiers films de la promotion, qui seront présentés avant les vacances de Noël. A suivre, donc.
Comme une bonne chose n'arrive jamais seule, alors que s'ouvre aujourd'hui le trentième festival ornithologique, France Culture diffuse une émission sur l'IFFCAM à écouter ce soir à 17h .
Comme tous les ans, les étudiants vous convient durant le Festival de Ménigoute, à leur festival OFF. Tous les films réalisés l'an passé par les étudiants, présentés par eux-mêmes, dans la salle de projection de l'IFFCAM.
Demain, samedi 18 octobre à 11h, sur France 3 poitou-charentes, émission enregistrée à l'IFFCAM sur le thème : quelle agriculture pour demain.
Vous pouvez suivre l'émission en allant sur les chaines suivantes selon vos fournisseurs TV :
Bonne émission à tous
YMS
Premier contact concret des masters 1 avec la technique de l’image.
Après plusieurs semaines passées à étudier des choses aussi diverses que l‘esthétique du cinéma, l’approche naturaliste du terrain, ou encore à acquérir les connaissances de bases en son et en vidéo, les étudiants, encadré par Patrick Luneau, ont découvert les caméras qu’ils utiliseront cette année et des notions pour l’instant barbares, telles que "la balance des blancs, la profondeur de champ, le shutter" et autres joyeusetés…
La semaine s’est terminée avec l’exercice des lapins qui consiste à essayer de filmer un de ses camarades au téléobjectif alors qu’il se déplace rapidement dans la prairie.
Mesurant tout le chemin qui leur reste à parcourir avant d’être des opérateurs de prise de vue aguerris, ils ont été rassurés par Patrick qui leur promit qu’ils feraient des progrès notables après leur stage d’une semaine en Brenne en novembre.